Vladimir POUTINE © Malick MBOW

Connexions avec la Russie : Trump dément les informations du New York Times et accuse la NSA et le FBI

Vladimir POUTINE © Malick MBOW
Donald TRUMP © Malick MBOW

 

M6info 15 février 2017

 

Le président des États-Unis, via plusieurs tweets, a affirmé que les services du renseignement du pays s’évertuaient à faire fuiter intentionnellement des informations à la presse.

Donald Trump en est persuadé : les services de renseignement américains – la NSA et le FBI, tous deux cités – fournissent illégalement des informations aux journalistes. C’est en tout cas ce que le 45ème président des Etats-Unis a déclaré de bon matin… sur Twitter, évidemment. Une réaction qui intervient après les révélations publiées dans les colonnes du New York Times concernant des relations supposées entre l’équipe de campagne du président et la Russie.

 

 

Information is being illegally given to the failing @nytimes & @washingtonpost by the intelligence community (NSA and FBI?).Just like Russia

 

13:19 – 15 Févr 2017

 

The real scandal here is that classified information is illegally given out by « intelligence » like candy. Very un-American!

 

14:13 – 15 Févr 2017

Visiblement en verve, Donald Trump a publié un autre tweet, qualifiant ces “connexions russes” de “non-sens” dans laquelle il ne lit qu’une énième tentative de ses adversaires pour “couvrir les nombreuses erreurs commises par la campagne perdante d’Hillary Clinton”.

 

This Russian connection non-sense is merely an attempt to cover-up the many mistakes made in Hillary Clinton’s losing campaign.

 

Une démission remarquée

Le célèbre quotidien publiait en effet mardi soir, en s’appuyant sur plusieurs sources, que des écoutes et des relevés téléphoniques avaient démontré que plusieurs membres de l’équipe de campagne de Donald Trump – ainsi que certains de ses associés – avaient multiplié les contacts avec les services de renseignement russes durant l’année qui a précédé l’élection présidentielle, note Reuters.

Des révélations qui interviennent dans un contexte bien particulier puisque Michael Flynn, jusqu’ici principal conseiller présidentiel a la sécurité nationale, a été contraint de présenter sa démission. L’homme a été mis en cause après avoir tenu des conversations téléphoniques avant l’ambassadeur de Russie à Washington avant l’investiture de Donald Trump, pratique considérée comme illégale outre-Atlantique.

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